DownloadCitation | On Jul 1, 2017, Jean-Louis Schlienger published Végétarisme, végétalisme, le pour et le contre | Find, read and cite all the research you need on ResearchGate
Doncles bienfaits du végétarisme (pour le corps et le porte-monnaie) ne sont pas à prendre en compte que par rapport à la viande industrielle. 0 . 20 novembre 2021 at 8 h 37 min @Madara on
Contretout bon sens et morale, la politique -particulièrement l’Union Européenne- subventionne massivement l’industrie de la viande et du lait avec l’argent des impôts. Les subventions agricoles comptent presque pour moitié dans l’économie de l’UE, plus de 50 milliards d’euros par an. L’absurdité et l’aberration des subventions de l’UE apparaît clairement aussi par
Lespersonnes adhérant à ces mouvements le font en France pour une diversité d’arguments : le budget et la santé d’abord puis la protection de l’environnement, la maîtrise de son poids, la pitié pour les animaux d’élevage et enfin les scandales impliquant la relation alimentation carnée-animal du type « horsegate » (Cazes-Valette, 2015). Afin de limiter leur impact sur la
Pourle poulet, on a la chance ici d'avoir des éleveurs je pense assez soucieux de leurs bêtes:élevages en plein air, pas d'industrie à la chaineetc. Bon ceci dit, je sais surement pas tout mais on se rassure comme on peut. Je me surprends de plus en plus à préférer le poisson et c'était pas gagné à la base. Par contre, c'est plus
Levégétarisme séduit de plus en plus et cela pour plusieurs raisons : la cause animale, la santé, la conscience Devenir végétarien intéresse de plus en plus à notre époque.
NXaOIL. Ma propre expérience inclut celle de mes clients et des tonnes de rechercheApparemment, je me jette sur les steaks saignants… 😉Viande rouge, gras saturés et santé ou comment ne PAS interpréter les études épidémiologiques…Le paléo augmente le mauvais cholestérol….? et le BON !Et le poisson ? il est en fait plus risqué de ne pas en mangerJe ne suis pas une adepte du régime paléo »Comment choisir des protéines durablesManger de la viande est compatible avec le respect des animauxOui, nous avons évolués AVERTISSEMENT Ce billet est très L – O – N – G car j’ai vraiment un gros dédain pour la mésinformation et je tenais à mettre tous les points sur les i. 😉 Pour vous mettre en contexte, j’ai accepté de participer à un article pour ou contre le végétarisme cliquez ici pour le lire dans le magazine québécois Véro » automne 2014. Suite à la parution de ce débat, Mme Desaulniers a écrit une réponse sur son blog. Vous pouvez la lire en cliquant ici. Mon temps est très précieux et je n’aime habituellement pas me lancer dans des débats avec des gens qui manquent clairement d’ouverture d’esprit, mais son article m’a vraiment dérangée pour plusieurs raisons son ton condescendant, son attitude supérieure, ses accusations personnelles et, plus que tout, plusieurs faits omis. C’est assez pour que je prenne de mon temps pour écrire une réponse. Je ne tiens pas nécessairement à ce que Mme Desaulniers la lise, car je sais qu’il n’y a rien que je ne pourrais dire qui ne la ferait changer d’idée, mais je veux que vous, mes chers lecteurs, ne vous sentiez pas attaqués comme moi par ses propos. Pour ce faire, je vais tirer quelques lignes de son billet pour y répondre directement. Ma propre expérience inclut celle de mes clients et des tonnes de recherche Premièrement, elle m’introduit ainsi À droite, Aglaée Jacob, qui détient un bac et une maîtrise en nutrition, défend le point de vue contraire à partir de sa propre expérience ». Je voudrais seulement dire que mon point de vue ne vient pas seulement de ma propre expérience, bien qu’elle y compte certainement. Mon point de vue vient également de centaines d’heures de recherche approfondie sur le sujet dans la littérature scientifique ainsi que l’expérience de centaines de clients avec qui j’ai travaillé dans les dernières années. Apparemment, je me jette sur les steaks saignants… 😉 Sur un ton passif agressif, elle continue J’aurais bien aimé en savoir davantage sur la santé déclinante de madame Jacob lorsqu’elle était végée. Qu’est-ce qu’elle mangeait ? Qu’est-ce qui manquait ? A-t-elle essayé de modifier ses habitudes avant de se jeter sur son steak saignant ? ». Cette information n’est pas difficile à trouver. J’ai partagé de façon très ouverte mes problèmes de santé sur d’autres platesformes. Pour ceux qui ne le savent pas, j’ai souffert de problèmes digestifs chroniques, mais je l’attribue à une infection gastro-intestinale que j’ai attrapée lors de mes voyages, pas à une alimentation végétarienne. Mais je peux dire que c’est en faisant la transition à une alimentation paléo que j’ai pu retrouver le contrôle de mes symptômes intestinaux suite au développement de syndrome de l’intestin irritable post infectieux. Toutefois, je peux véritablement dire que j’ai souffert d’un manque d’énergie et danémie difficile à corriger même pour une nutritionniste et même avec supplémentation en étant végétarienne, problèmes qui se sont envolés dès que j’ai commencé à manger paléo. J’ai aussi été diagnostiquée avec le syndrome des ovaires polykystiques SOPK, un problème qui représente la plus grande cause d’infertilité chez la femme et qui peut être aggravé par une alimentation riche en glucides et pauvre en gras tel que l’alimentation végétarienne l’est. Manger paléo m’a permis de contrôler mes hormones, réduire mon nombre de kystes sur les ovaires de plus de 70 % et de devenir fertile pour maintenant avoir un petit garçon en bonne santé. 🙂 Viande rouge, gras saturés et santé ou comment ne PAS interpréter les études épidémiologiques… Elle mentionne ensuite Selon Aglaée Jacob, aucune étude ne prouverait que la viande rouge et les gras saturés peuvent être néfastes sur la santé et causer certains cancers. Pourtant, pas besoin de chercher bien loin pour se convaincre du contraire » et donne quelques exemples. Premièrement, je n’utilise pas de site de vulgarisation scientifique auquel elle réfère dans son billet et préfère plutôt aller directement à la source. Ce n’est qu’en lisant les études scientifiques, leurs méthodologies et leurs résultats qu’on peut avoir l’heure juste ne lire que les résumés est une des raisons pourquoi la nutrition est un sujet très controversé dans les médias…!. J’ai bien lu les études mentionnées. Le problème est que ce sont des études de type épidémiologique… Il est bien connu dans le domaine des sciences et des statistiques que ce genre d’étude ne devrait JAMAIS servir pour faire des recommandations ou tirer des conclusions. Ça ne permet que d’obtenir des hypothèses pour faire des études cliniques par la suite. Les corrélations qui y sont trouvées ne devraient JAMAIS être interprétées comme étant une relation effet-cause, car nous n’en avons absolument aucunes idées. Par exemple, si je vous dis qu’il y a beaucoup de camions de pompiers aux sites d’incendie, le type de corrélation qu’on pourrait facilement trouver avec un type d’étude épidémiologique, ça ne veut pas dire que les camions de pompiers causent les incendies… vous êtes d’accord ? C’est la même chose avec les études en nutrition. De plus, souvent les études épidémiologiques utilisent des questionnaires demandant aux gens de se rappeler ce qu’ils ont mangé dans la dernière année à l’aide d’un questionnaire de fréquence alimentaire… pas très précis à mon avis comme méthodologie ! Souvent, la pizza et autre junk food sont interprétées comme étant de la viande rouge à cause de son pepperoni et le poids de l’aliment en entier est inclut dans la quantité de viande rouge consommée… Ça vous paraît honnête ? Et il ne faut pas oublier qu’aucunes de ces études ne fait la distinction entre les gens qui mangent de la viande de pâturage avec une grande quantité de légumes tout en faisant attention à leur santé et les gens qui mangent leur viande entre deux tranches de pain hamburgers avec une boisson gazeuse et des frites cuites dans de l’huile végétale rancie. Bref, je ne veux surtout pas utiliser ces études pour tirer mes conclusions. Pour ce qui est de la controverse » des gras saturés, hé bien ça ne devrait vraiment plus être une controverse… Encore une fois, les gras saturés ont été diabolisés depuis des décennies mais les raisons sont beaucoup plus de politiques que scientifiques lisez Good Calories, Bad Calories si vous comprenez l’anglais pour une analyse méticuleuse avec des centaines d’études à l’appui si vous voulez en savoir plus. Une des récentes preuves les plus convaincantes quant à l’innocuité des gras saturés est parue dans The American Journal of Clinical Nutrition en 2010 lire l’étude ici. Cette méta-analyse une étude regardant toutes les études faites sur un sujet donné inclut 347 747 participants suivis pour des périodes de 5 à 23 ans et montre clairement qu’il n’y a AUCUNE association entre la consommation de gras saturés et le risque de maladies cardiovasculaires et d’AVC. Cette étude n’est qu’un exemple, mais il y en a beaucoup d’autres menant aux mêmes conclusions. Même le Times Magazine s’est pratiquement excusé, près de 30 ans après son article diabolisant le cholestérol et les gras saturés, avec un article montrant toute la science moderne qui confirme que le beurre n’est pas l’ennemi le véritable ennemi est le sucre !. Le Time magazine en 1984 Le Time magazine en 2014! 🙂 Le paléo augmente le mauvais cholestérol….? et le BON ! Finalement, pour ce qui est de l’augmentation de cholestérol observée après l’adoption d’un régime paléo… et bien oui, c’est parfois vrai ! Encore là, il ne faut pas s’arrêter à l’article vulgarisé en hyperlien dans son article mais il faut aller à la source article scientifique original ici. Les 44 participants en bonne santé ont suivi un régime paléo pendant 10 semaines. Résultat oui, leur mauvais » cholestérol LDL encore une fois les termes mauvais et bon cholestérol sont très simplifiés et ne représentent pas toute l’histoire ! a augmenté… et bien que le résultat soit statistiquement significatif panimal n’est plus à démontrer. Ça prend beaucoup plus de terres arables pour nourrir un omnivore que pour nourrir un végétalien donc une alimentation qui inclut de la viande contribue énormément plus à la déforestation, aux gaz à effet de serre, et à n’importe quel autre impact environnemental qu’une alimentation végétalienne. Je ne peux pas m’avancer dans le débat sur la nutrition, qui est très complexe, mais vous n’avez clairement pas fait vos devoirs sur la question environnementale Mme Jacob. Je vous recommande fortement de vous informer davantage à ce sujet, notamment en visionnant le documentaire Cowspiracy » Éric Ménard, M. Env. Bonjour M. Ménard, Avez-vous lu mon billet? Je sais qu’il est un peu long mais il est préférable de faire ses devoirs avant de commenter. p Je suis tout à fait d’accord avec vous que la viande conventionnelle nourrie de céréales n’est pas la solution. C’est pour ça que je n’en mange pas et ne le recommande pas non plus. Comme je le mentionne dans mon billet, j’encourage les gens à manger de la viande de pâturage qui ne requiert aucune céréale et aide même à rebâtir la couche de terre arable qui s’effrite dû à l’agriculture moderne. Plus de détails ici Aglaée Jacob, MS, RD Je ne vois nulle part dans ce que vous recommandez une quelconque preuve que la production de viande de pâturage nécessite moins d’espace terrestre que la production de protéines végétales… Et la démonstration que vous citez qui est supposée prouver qu’une alimentation végane tue plus d’animaux que la consommation d’animaux d’élevage ne tient absolument pas la route. If half of the total harvested land in the US was used to produce plant products for human consumption and half was used for pasture-forage production, how many animals would die annually so that humans may eat? 60 million ha, plant production × 15 animals/ha = billion 60 million ha, forage production × animals/ha = billion Total billion animals According to this model then, fewer animals billion would die than in the vegan model billion » Cette démonstration s’appuie sur l’idée que ça prendrait le même nombre d’hectares de production végétale pour remplacer les pâturages. Comment peut-on se baser sur une telle hypothèse sans données concrète à l’appui? Et ça, c’est si l’on considère valide l’hypothèse que la production végétale tue plus d’animaux à l’hectare que les pâturages, ce dont je doute fortement. Comme preuves de production végétales meurtrières », il est fait référence notamment à la luzerne, le blé et la canne à sucre. Je ne savais pas que les protéines animales étaient remplacées par de tels aliments dans une alimentation végane, ni même qu’une alimentation omnivore de pâturage ou non excluait la consommation de ces aliments… Rebonjour! 1 Je suis d’accord que le blé, la luzerne et la canne à sucre ne constituent pas la seule source de nutrition pour les végétariens et végétaliens. J’imagine que l’auteur a utilisé les cultures pour lesquelles ces données étaient disponibles. À mon humble avis et avec mon expérience de plusieurs années de vie à la campagne et sur une ferme, j’imagine que le nombre d’animaux, de reptiles et d’oiseaux tués avec la culture du soya, du maïs, de légumineuses et des autres céréales est similaire. 2 Pour ce qui est de la diète que je recommande, le mode d’alimentation paléo, il exclut ces cultures blé, canne à sucre, légumineuses, soya, maïs et autres céréales bien que ce soit une diète de type omnivore. Et la viande que nous mangeons n’est que nourrie à l’herbe ce qui ne contribue également pas à encourager ces cultures. 3 Je ne suis pas certaine de comprendre ton acharnement par rapport à la superficie occupée par la culture de céréales versus celle occupée par des animaux de pâturage. Je ne sais pas si ces données existe, probablement que oui, mais je ne les ai pas. Et ce serait passer à côté de la question. Une ferme holistique utilise une rotation entre l’élevage d’animaux et de culture de légumes. La superficie occupée par les grandes mono-cultures de céréales et de légumineuses a un impact tout à fait différent sur le sol, l’environnement et la santé des animaux et des gens qui les consomment comparativement à la même superficie occupée par une ferme biologique gérée de façon holistique et biodynamique. Visiter une ferme de ce type plutôt que d’essayer de trouver des études scientifiques est souvent la meilleure façon d’y voir plus clair. Et lorsque ma famille achète un quart de boeuf et que ça nous nourrit pour 3-4 mois, ça ne fait qu’ 1/4 de vie pour nourrir. Et en choisissant du boeuf de pâturage, je ne contribue pas à plus de morts indirectes résultant de l’agriculture moderne. Voilà mon avis! Aglaée Bonjour, 🙂 J’ai lu avec attention votre article, et il me fait réfléchir. Je suis végétarienne depuis plusieurs années, mais je considère mon choix comme personnel et reste convaincu que l’Homme est fait pour manger de la viande. Je suis depuis quelques temps très attirée par l’alimentation paléo, mais j’aimerai l’adapter à mon végétarisme. Je pense qu’il doit exister dans le monde des tribus végétariennes, alors peut-être qu’avec tous les aliments auquel nous avons accès, il est possible d’être végétarien et d’avoir une alimentation qui s’approche du paléo. Depuis quelques semaines, je fais un paléo à ma sauce, je voulais savoir ce que vous en pensiez ce n’est pas vraiment du paléo mais ça tend vers une alimentation plus naturelle. Je consomme bien sur beaucoup de légumes, des fruits, des oeufs bio, des graisses comme l’huile d’olive, la creme de coco, le tahin, les noix, mais aussi des produits à base de soja tels que le tempeh, le tofu, le lait et les yaourts de soja, les fromages au lait cru de chèvre et de brebis que je tolère sans problème. Pour l’instant il m’arrive encore de consommer les aliments suivants, mais 1 jour sur 2 flocons d’avoine, riz complet, quinoa, pain de seigle, pâtes complètes, sarrasin, lentilles, haricots, pois chiche, pois cassés, beurre de cacahuètes naturel, chocolat noir, miel. Qu’en pensez-vous? 🙂 Merci de votre réponse! PS encore une fois, je ne pense pas que vous faites mal en consommant des animaux, ma raison est purement personnelle, cependant j’ai dévellopé des SOPK moi aussi, et je pense qu’une alimentation plus basique me ferait du bien. Bonne journée! Bonjour Elsa, Je suis bien heureuse de lire ton commentaire et de voir que tu es prête à intégrer certains aspects du paléo à ton alimentation. 😉 Je crois que les aliments que tu inclues sont très bien et je suis contente que tu choisisses certains produits animaux de qualité, tels que les oeufs et certains produits laitiers. Je ne suis pas une fan du soya pour des raisons que j’expliquerai plus en détails ailleurs c’est dans le livre aussi et dans les autres aliments, je t’encouragerais à faire un peu de rechercher sur chacun de ceux-ci. Le miel et le chocolat noir ne me causent pas trop de problèmes, mais les autres aliments ne sont pas optimaux pour tous. Je ne peux pas vraiment donner de réponses précises sans faire une évaluation plus approfondie de ta condition mais j’ai garder tes questions en banque pour y répondre plus en détails de façon anonyme dans un prochain épisode FAQ de la radio paléo en mai ou juin 2015. Alors surveille les prochains épisodes 😉 Aglaée merci de votre réponse si rapide! Déjà, mon petit déjeuner paléo me ravi, omelette aux légumes, avocat, myrtilles 🙂 Tous comme les noix au gouter! particulièrement les noix de macadamia et les noix de grenoble, de cajou. Bonne journée 🙂 Bonjour, je commence à m’intéresser au régime paléo, car j’ai de gros problèmes digestif que je n’arrive pas à régler depuis quelques années; j’ai lu un poste dans lequel était écrit que les noix sont exclus du régime ainsi que les fruits et recommande finalement peu de légumes; quand pensez vous? pouvez vous me conseiller? merci; belle soirée Laisser un commentaire
Végétarisme est un subjuct très intéressant, est-ce mieux d'être pour ou être contre?Il ya beaucoup d'arguments pour et contre, et même si la plupart des gens mangent de la viande, beaucoup ne sont manger de la viande? il a un goût délicieux! et beaucoup de choses n'ont pas le même goût sans elle! Aussi, il contribue à maintenir un régime équilibré et fournit des protéines et autres nutriments que vegatables ne peut beaucoup de gens sont végétarien, pourquoi? l'éthique, par exemple, les gens ne sont pas satisfaits des conditions d'élevage. Aussi, si on est un environnementaliste, on sait que le production de la viande produit beaucoup de méthane, qui est mauvais pour l'environnementMoi? je suis moi? Je suis un carnivore! j'aime la viande!
L'homme, naturellement végétarien ?Oui. L'homme n'a pas la constitution d'un carnivore. C'est ce que nous disent depuis quatre siècles d'éminents scientifiques, du grand naturaliste anglais John Ray au médecin et chercheur en nutrition américain Neal D. Barnard en passant par ce bon vieux Darwin. Nous n'avons ni les dents acérées, ni les griffes, ni même le système digestif des prédateurs. D'ailleurs, nos ancêtres, affirment-ils, étaient frugivores et granivores. Donc, Les tout premiers hominidés étaient peut-être végétariens, mais, il y a un million et demi d'années, l'Homo erectus, notre ancêtre, chassait et cuisait déjà sa viande! En fait, la physiologie de l'humain - son corps, sa dentition et son système digestif - s'est adaptée pour lui permettre de devenir omnivore. Un peuple comme les Inuits se nourrit presque exclusivement de protéines animales viande et poisson et de graisses depuis la nuit des viande, aliment indispensable ?Oui. Le problème, c'est que la plupart des adolescents et des adultes qui se lancent aveuglément dans le végétarisme ne respectent pas les équilibres nutritionnels essentiels pour éviter les carences. Une étude menée à London Ontario en 1996 sur un groupe de végétariennes de 14 à 19 ans a montré que la majorité d'entre elles n'absorbaient pas suffisamment de protéines, de calcium, de fer et de zinc. D'ailleurs, de nombreux végétariens manquent de fer et de vitamine B12 notre organisme absorbe beaucoup mieux ces deux éléments lorsqu'ils proviennent de la Des millions d'êtres humains dans le monde vivent sans viande - culture ou pauvreté obligent -, car toutes les protéines sont présentes dans la nature en dehors d'elle. Le soja contient 34 % de protéines; le bÅ“uf maigre, seulement 16,4 %. Si bien qu'en 2003 l'American Dietetic Association et les Diététiciens du Canada l'affirmaient " Une alimentation végétarienne, si elle est soigneusement planifiée, peut être appropriée pour les gens de tous les âges. " Le sprinter Carl Lewis, huit fois médaillé d'or aux Jeux olympiques, était végétalien !Le végétarisme, gage de bonne santé ?Oui. Les végétariens souffrent moins de diabète, d'hypertension, de surpoids, de maladies cardiovasculaires et de cancers que le reste de la population. Normal le végétarisme correspond exactement au type de régime faible en gras et riche en fibres, en antioxydants et en nutriments essentiels recommandé par les médecins. En février 2003, les experts de l'Organisation mondiale de la santé réunis à Genève recommandaient d'" opter pour une alimentation végétarienne et les produits de la mer ".Non. Pas évident d'attribuer ces bonnes statistiques uniquement au végétarisme, nous dit l'Institut national de la nutrition. Car les végétariens sont statistiquement plus actifs, plus aisés et s'abstiennent en général de faire usage de tabac et de consommer de l'alcool - causes principales des maladies cardiovasculaires ou cancéreuses. En réalité, bien plus que la suppression de viande, c'est la consommation de fruits et de légumes et l'hygiène de vie qui importent pour rester en santé. On peut être végétarien et se nourrir de frites et de gâteaux !Le végétarisme, geste pour le bien-être animal ?Oui. En 2003, au Québec seulement, 140 000 bÅ“ufs, 8 millions de porcs et 162 millions de poulets étaient abattus pour la consommation humaine. Or, malgré notre conscience accrue de la souffrance animale, les conditions d'élevage ont peu évolué. Les cochons ont toujours les dents limées, les oreilles et la queue coupées ; les veaux sont retirés de leur mère à 8 jours et tués à 100 ; les poulets sont entassés à une dizaine par mètre carré. Tout cela contribue directement aux zoonoses, maladies transmissibles à l'homme grippe aviaire, SRAS, etc., et à une large consommation d'antibiotiques⤦ qui se retrouvent dans nos aliments !Non. Les éleveurs, affirment leurs fédérations, sont les premiers à vouloir le bien-être des animaux mieux ils seront traités, plus ils seront productifs. Une commission de travail sur le bien-être animal, regroupant tous les producteurs, a même été créée en 2002. Des codes de bonne pratique existent dans tous les secteurs. La présence d'antibiotiques et d'hormones est régulièrement vérifiée - il n'y a dépassement des doses autorisées que dans 0,25 % des cas, selon l'Agence canadienne d'inspection des aliments. Au final, la pression n'a jamais été aussi grande, surtout depuis que McDonald's enquête sur le bien-être des animaux de ses végétarisme, démarche écologique ?Oui. Savez-vous que 40 % des cultures céréalières du monde et 70 % de celles des États-Unis servent à engraisser le bétail des pays riches ? Et qu'il faut 24 fois plus d'énergie pour produire du bÅ“uf que des céréales, en incluant tout le processus d'exploitation ? L'utilisation de ces ressources suffirait, à elle seule, à résoudre le problème de la faim dans le monde. L'élevage industriel est aussi une des principales causes de pollution et de déforestation. Selon l'écologiste québécois Luc Gagnon, la production de viande serait responsable d'environ 25 % de toutes les émissions de gaz à effet de C'est pour ces raisons que le Québec, depuis 1990, impose des règles strictes pour établir une agriculture durable ». Un producteur animalier qui ne les respecte pas n'aura pas de subventions c'est l'écoconditionnalité. Aussi, si les experts s'amusent à imaginer un monde sans viande, il ne faut pas oublier que cette industrie fait vivre des pans entiers de l'industrie textile cuir, laines, etc., écologique engrais et même pharmaceutique. Et qu'une industrie comme la production de porcs représente, à elle seule, 3,7 milliards de dollars au ? Petit glossaireLes végétariens sont des gens qui ne mangent aucune chair animale viande, volaille, poisson ou fruits de mer. Mais on les dit lacto-ovo-végétariens quand ils consomment des sous-produits d'origine animale miel, Å“ufs et produits laitiers ; lacto-végétariens quand ils n'excluent que les ½ufs ; ovo-végétariens quand ils n'excluent que les produits laitiers ; végétaliens quand ils ne mangent aucun produit ou sous-produit d'origine animale. Certains vont même jusqu'à n'utiliser aucun produit provenant des animaux laine, cuir, plumes, fourrure.... SourcesDr Jacqueline André, L'équilibre nutritionnel du végétarien, Éditions Maloine, 1996. Renée Frappier, Le guide de l'alimentation saine et naturelle, Éditions Maxam, 1987. John Robbins, Se nourrir sans faire souffrir, Stanké, 2001. Luc Gagnon, Échec des écologistes ?, Éditions du Méridien, 1993.
Il y a des aficionados du végétarisme. Si, si, j’en connais ! Pour eux, être végétarien, c’est une religion. Pire, une croisade !Un conseil si vous organisez un dîner chez vous, ne les invitez surtout pas ! Ils sont les rois pour vous plomber l’ambiance ! Heureusement, ils ne sont pas tous comme ça… Les religieux » du végétarisme vous expliquent qu’ils sont végétariens pour toutes les bonnes raisons, qu’ils se prémunissent contre la maladie de la vache folle, que l’essentiel des gaz à effet de serre provient de l’élevage intensif et que, de toutes façons, il ne faut pas tuer nos amis les bêtes. Ils monopolisent la conversation sur leurs histoires de céréales, de tofu et de légumineuses dans le but avoué de faire flipper tous vos invités ! Ils prennent tout le monde à partie sur l’éternel débat de l’ail et de l’oignon qui sont des excitants des surrénales donc de la testostérone et des œstrogènes. Même l’albumine des œufs contiendrait une substance mal assimilable par l’organisme humain, sans parler, bien sûr, de la salmonellose ! Là-dessus, un de vos convives réplique qu’on tue aussi les plantes quand on les cueille… Patatra ! Les esprits s’échauffent, chacun en rajoute une couche dans le pour et le contre. Et vous qui vous faisiez une joie de cette petite soirée entre amis, vous qui pensiez avoir habilement évité le piège des sujets qui fâchent, vous ne savez plus comment les expédier, tout balancer en vrac dans le lave-vaisselle et vous coucher avec deux somnifères pour oublier ce fiasco ! Végétarien et normal, c’est possible ? Heureusement, ils ne sont pas tous comme y en a qui sont végétariens ET normaux. Et pas plus casse-pieds que d’ végétariens que la nourriture n’intéresse pas plus que ça. Qui n’en font pas le centre de leur si, j’en connais aussi. C’est mon dans une famille de “bons vivants”, amateurs de bons vins et de 3 étoiles en rouge dans le Michelin, après six ans aux États-Unis, je n’en pouvais plus des “baconcheeseburger-rare-hold the bun” et suis devenu végétarien sans vraiment y réfléchir, par simple goût. Avant, il fallait me battre pour me faire manger les légumes qui accompagnaient le steak sauf les frites, bien sûr !. Maintenant, ce serait plutôt l’inverse ! Là-dessus, j’ai commencé à méditer, à méditer raja yoga ». Et là, comme le hasard fait bien les choses, j’ai appris que pour favoriser une saine méditation, il était préférable d’éviter toutes les substances qui pouvaient perturber la méditation. A savoir, en gros l’alcool et le tabac, ça, je m’en doutais un peu, mais aussi la viande, le poisson, l’ail, l’oignon et les ça ! Premier réflexe Qu’est-ce qui reste ?! ». Dommage pour le poisson, je m’étais un peu rabattu dessus. Une sole meunière, une truite aux amandes ou tout simplement une sardine à l’huile ! Mais bon, il est vrai que lorsqu’on voit les conditions dans lesquelles ils sont pêchés, tués et conditionnés, ça fait froid dans le dos. Ils ont le temps d’envoyer des tonnes de signaux de stress et de mort dans leur justement que nous mangeons ! Rester conscient que c’est l’âme qui nourrit le corps La grande idée reçue, le grand cliché, a été de nous faire croire que notre métabolisme est comme celui des cochons, alors qu’en fait notre système digestif s’apparente plus à celui des fructivores. Or, tout ce que nous absorbons et la façon dont nous le mangeons, influe sur notre physique et notre mental. D’où l’intérêt de cuisiner et de se nourrir de façon sereine et équilibrée, en restant conscient que c’est l’âme qui nourrit le corps et en donnant, de ce fait, à la nourriture un pouvoir spirituel important. Mes recettes de végétarien pour une alimentation équilibrée – Respecter les besoins journaliers en protides, lipides et glucides en consommant au cours d’un même repas des protéines complémentaires, à raison de 3/4 de céréales blé, maïs, riz, avoine, millet, etc. et 1/4 de légumineuses haricots secs, pois chiches, pois cassés, lentilles, soja, etc.. – Manger régulièrement des crudités afin d’assimiler les sels minéraux et oligo-éléments qui sont de précieux facteurs de protection contre les infections microbiennes. – S’assurer de la teneur en fer et en vitamine B12 de notre alimentation, en consommant de la vitamine C au cours du repas jus de citron et persil, par exemple, de la farine complète, du soja ou du tamari, des graines germées, de la levure de bière et de la spiruline. – Tous les aliments ne se digèrent pas de la même manière. Ainsi, Les fruits par exemple ne se mangent jamais à la fin d’un repas, toujours en dehors, car sinon le fruit doit attendre que les autres aliments soient eux-mêmes assimilés et il a largement le temps de pourrir dans votre organisme ! – Donc, un repas végétarien équilibré comprendra crudités, céréales complètes de préférence, légumineuses en plus petite quantité, légumes et éventuellement produits laitiers là aussi, il y a discorde…. Le tout cuisiné dans un bon niveau de conscience. Du coup, ça va faire plus de 30 ans que je me nourris comme ça, je commence ma journée par une méditation tôt le matin, je fais 20 km de vélo par jour et je me porte très bien. Je fais des analyses de sang tous les ans, et, Ô divine surprise aucune carence et pas de cholestérol. Cool ! D’ailleurs, maintenant, j’ai un jardin. Mon jardin est mon assiette !Ça me simplifie énormément la vie, ça me coûte moins cher et ça me permet d’éviter bon nombre d’intoxications alimentaires. Et en plus, j’aime ça et mes méditations sont demander de plus ?
Personne ne peut accuser l'IRS de ne pas être minutieux. Sur leur site Web, ils ont abordé certains des arguments les plus courants que les gens ont avancés pour éviter de payer des impôts. La plupart de ces arguments ont été portés devant les tribunaux à de nombreuses reprises et jugés sans fondement. Donc, si vous ne voulez pas payer vos impôts, vous devrez imaginer quelque chose de plus créatif que ces 10 exemples. 1. Les impôts sont "volontaires" Cet argument vient d'une mauvaise compréhension du mot "volontaire", qui apparaît dans quelques sources fiscales, y compris les instructions qui accompagnent votre formulaire fiscal 1040. Malheureusement, la définition légale du mot volontaire » dans ce cas fait référence au processus par lequel les contribuables déclarent et paient des impôts sur les revenus déclarés volontairement, par opposition à un système où le gouvernement vous dit simplement ce que vous devez payer et vous le déboursez plus de. Et ne pensez pas que vous pouvez être rusé et dire que le dépôt d'une déclaration de revenus peut être obligatoire mais que le paiement des impôts est volontaire. Ils ont déjà pensé à celui-là aussi. 2. La rémunération n'est pas un revenu Voici l'argument si je travaille contre rémunération, alors je ne fais pas de profit. Je ne fais que troquer mon temps contre de l'argent, ce qui est une transaction à somme nulle, et, par conséquent, je n'ai aucun gain ou profit légalement imposable. Cela peut être interprété à tort comme un échange » et non comme un revenu. La réfutation de l'IRS Intelligente, mais pas convaincante. 3. Les impôts en Amérique ne sont pas pour les Américains Apparemment, il y a une phrase ou deux dans le code des impôts qui fait plus de 50 000 pages, soit dit en passant qui établit une distinction entre les revenus de source américaine et non américaine. C'est juste un petit point expliqué pour que les gens ne paient pas de doubles impôts s'ils ont des revenus de plusieurs pays. Quelques individus ont cueilli cette petite idée et affirmé qu'aucun impôt n'est dû sur les revenus gagnés en Amérique par les Américains. Seuls les étrangers doivent payer. La réfutation de l'IRS lisez les 49 999 autres pages et revenez nous voir. 4. L'argent n'a pas cours légal Certaines personnes sont un peu irritées de ne pas pouvoir emmener quelques Benjamins dans leurs banques locales et les échanger contre des quantités égales d'argent ou d'or. Ils prétendent donc que les revenus qu'ils gagnent payés dans une telle offre "sans valeur" ne peuvent pas être imposés, car ils n'ont par nature aucune valeur. La vérité, c'est qu'ils n'ont rien à redire. L'article I, section 10 de la Constitution stipule que les États ne peuvent déclarer quoi que ce soit comme monnaie légale autre que l'or et l'argent, mais n'impose pas de telles limites au Congrès. Donc, si vous êtes payé en billets sans valeur » de la Réserve fédérale, vous pouvez en faire don à la Mental Floss Fonds de fête de Noël, mais vous devez quand même payer vos impôts sur eux. 5. je ne suis pas citoyen Certains anciens comptables créatifs et membres de la milice se sont réunis et ont compris que s'ils rejetaient leur citoyenneté américaine en faveur de leur citoyenneté d'État, ils seraient en dehors des pouvoirs de perception fiscale de les leurs. Ou, en termes plus succincts, Je suis un citoyen né libre de insérer l'État de Mountain West ici, et vous n'avez aucun droit sur mon argent, monsieur le fisc. » La réfutation de l'IRS créative? Probablement. Effrayant et peu convaincant? Absolument. 6. "Les Etats Unis." ne comprend que les terres fédérales L'argument des droits d'un autre État prétend que les États sont des terres souveraines et uniquement fédérales telles que le district de Columbia, Guam, Porto Rico et les enclaves fédérales comme les réserves et les bases militaires sont soumises à des lois fédérales. Imposition. La réfutation de l'IRS Sérieusement? On a une baby shower dans la salle de repos du troisième étage et tu prends notre temps avec ça ? 7. Les individus ne sont pas des personnes Je vais juste citer l'IRS sur celui-ci car c'est assez inestimable Certains soutiennent qu'ils sont n'est pas une personne » au sens de l'Internal Revenue Code, et n'est donc pas assujettie à l'impôt fédéral sur le revenu lois. Cet argument repose sur une lecture erronée et torturée du Code." Quelle erreur de lecture pourriez-vous demander? Eh bien, le code définit une personne comme un individu, une fiducie, une succession, un partenariat ou une société ». je peux dire sans trop réserve que je ne suis personnellement pas une fiducie, ni même une société de personnes, mais j'aurais du mal à affirmer que je ne suis pas un individuel. Cela ressemble à une revendication pour les majors de rhétorique ou de philosophie uniquement. 8. Ma religion ne croit pas aux impôts Que votre religion n'aime pas les impôts ou n'aime pas les programmes que ces impôts financent, les tribunaux ont jugé que les nécessités de la perception des recettes par le biais d'un système fiscal sain soulèvent des intérêts gouvernementaux suffisamment convaincants pour l'emporter sur les droits de libre exercice de ceux qui trouvent l'impôt répréhensible pour des motifs religieux de bonne foi. » Bien essayé, bien que. 9. je plaide le cinquième C'est un bel argument juridique. Si j'ai des revenus de sources illégales, alors la déclaration de ces revenus m'oblige à m'incriminer en opposition directe aux droits qui m'ont été accordés par le cinquième amendement. Cependant, la Cour suprême a établi que le privilège d'auto-incrimination peut être utilisé pour protéger le contribuable de la divulgation de l'information concernant une source illégale de revenu, mais ne l'empêche pas de divulguer le montant de ses revenus. » En gros, vous n'avez pas à nous dire que vos revenus proviennent de la contrebande illégale d'iguanes, mais vous devez quand même déclarer les revenus. 10. Les impôts sont de l'esclavage Cet argument affirme que le respect forcé des lois fiscales fédérales est une forme de servitude en violation du treizième amendement. La brève réfutation ce n'est pas le cas. La longue réfutation ce n'est pas le cas, et c'est insultant pour des millions de personnes descendant des personnes que le treizième amendement était censé protéger.
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