Enréalité, Jésus venait de tracer le portrait spirituel de sa mère, celle qui, mieux que tout autre, écoutait la parole, celle qui, plus que tout autre, entrait dans les vues de Dieu. Elle qui était au cœur des affections humaines de Jésus avait déjà sa place au cœur de la famille des croyants ; mais Jésus attendait son Heure, l'heure de la Passion glorifiante, pour la proclamer Queles mots sont doux dans les yeux d’une femme seule. Quand elle choisit un ami, à de belles paroles. Je cours Je cours le long de la rivière. Je cours, je pense à ma mère. Je cours, et je vais en arrière. Je suis les traces de mon père. Je cours et j'aime mon pays, mon pays, mais pas ses barrières. Je cours, je cours vers mes amis, mes amis, mais pas leurs frontières. Je cours sur En1999, la mère et la fille écrivent à quatre mains le scénario de Victoire ou la douleur des femmes, qui raconte la vie d'une fille- mère en 1939, médecin (gynécologue- accoucheur) à Paris dans les années 50 et féministe 20 ans plus tard. Avec pour toile de fond la lutte pour le droit à l'avortement et l'arrivée de la pilule. Dansles cartes de la voyante, une année 2017 « encore difficile » et pas d’amélioration, avant 2020/2022. Par Béatrice FRANÇOIS - 07 janv. 2017 à 05:01 - Temps de lecture : tonpetit mot aussi Phoenix il me retourne. Mais ce qui nous retourne, c'est tout simplement ce qui s'y retrouve en l'autre. Je t'évoquais le lacher prise, mais les rencontres dans ma vie, participent de ça.. comme je le te l'ai dis, de m'y emener vers.. $🙂 si je dis "je", c'est que justement j'avais une tendance à dire "on", en mettant tout le monde dans le même panier, et un Onrevient de loin à 3000 à l'heure Je tombe les rapports Je tombe les rappeurs Je fais pas du box Je fais pas d'erreur Et en rapplique automatique Moi et ma clic on est pas dans les piques On a charbonné On rambolé On est pas désolé On les reprends de voler Parfois tu gagne parfois tu perds Parfois c'est calme, parfois c'est agité 2Cb9s. alpha L artiste Lynda Lemay titre Epoustouflante J’suis arrivée une bonne demi-heuresplus tôt que l’heure d’mon rendez-vousle temps d’être sûre de la couleurpour ne pas regretter après couple temps d’fouiller dans les revuespour découvrir Claudia Schifferles bras en l’air à moitiè nuebien entendu belle comme un cœurc’est alors que j’ai eu un flashj’ai dit "c’est comme elle que je les veux"mon vieux faut pas que tu me les gâchesce soir je vois mon amoureuxj’ai insisté sur la longueury a dit "du calme chère clientesoyez tranquille, ayez pas peurje vais vous rendre époustouflante"il a dit je connais mon artlaissez-moi faire, vous allez voirje vais vous faire un look d’enferon va vous prendre pour une staril semblait tellement convaincuque je lui ai dit "je te fais confiance"j’ai pris place avec ma revueen essayant d’garder l’silencemorte de trouille avec ma capeet ma serviette autour du couj’ai subi la fameuse étapedu casque de bain avec des trousmessieurs vous avez pas idéevous qui passer chez le barbiervous faire donner un coup d’ciseauxavant d’retourner au bureaude ce qui faut que l’on endureet de combien on s’humilielorsque l’on risque notre chevelurecomme s’il s’agissait de notre vieaux mains de c’que l’on appelle une "tante"qui jure que l’ovale de notre visageexige telle ou telle permanenteet puis tel ou tel balayageoui vous qui n’êtes que témoinde notre retour hystériquela tête comme une botte de foinet l’porte-feuille anorexiquevous qui avez la lourde tâchede réprimer votre fou rirependant qu’on s’cachedans la salle de bain et qu’on refuse de sortirj’en était donc au casque affreuxqui me retombait sur les yeuxquelle fa^cheuse positionpour apercevoir dans le salonma grande voisine de six pieds unavec sa jupe et son parfumqui s’en vient s’écrier "salutLynda j’tai presque pas r’connue"puis j’ai eu droit au bigoudis"c’est juste pour donner plus de corps"que la fofolle m’avait promisavant que je passe au séchoiril avait simplement omisd’me dire que j’aurais l’air d’avoird’la parenté en haitic’était crépu quelque chose de rareenfin comble de désespoirles mèches blondes sont sorties roussesle tour d’oreille fait au rasoirfallait que j’attende que ça repoussece qu’y a pire dans mon histoirec’est qu’après mon passage à la caissej’ai dit "merci beaucoup, bonsoir"comme la reine des épaissesje suis revenue en beau mauditepoustouflante qu’il m’avait ditben pour epoustoufler ça ouij’époustouflait en jésus Christje me suis étudiée dans le miroiren petite culottes en levant les brasj’ai jamais réussi à voirla ressemblance avec Claudiaj’ai annulé mon rendez-vousde peur qu’le gars soit asthmatiquey aurait pu crever sur le coupa peine passé le portiquej’ai juré que plus jamais de ma viej’aurais recours à un expertau diable l’art, vive les tonyles beaux permanents de ma mère

dans les yeux de ma mère paroles