LasĂ©rie F regroupe les vĂ©hicules de recherche et les innovations de la marque allemande. DĂ©voilĂ©e Ă  Londres il y a quelques semaines, la F200 prend l’ allure d’un jeu vidĂ©o au sens propre du terme. Oubliez le tableau de bord classique, le volant et les pĂ©dales, qui accessoirement, servent Ă  faire avancer votre vĂ©hicule. citation1 Mais ce qu'il y a de fou dans le monde, voilĂ  ce que Dieu a choisi pour confondre les sages; ce qu'il y a de faible dans le monde, voilĂ  ce que Dieu a choisi pour confondre Cetarticle entend examiner la mutation qui s’opĂšre sur un siĂšcle et demi, entre la publication du De revolutionibus de Copernic en 1543 et celle des Principia de Newton en 1687, oĂč l’on quitte un cosmos conçu Ă  l’image d’un grand organisme harmonieux, pour un univers Ă©clatĂ© et infini. Pour bien comprendre ce qui se joue Ă  travers ce passage Ă  une nouvelle RĂ©ponsede la Bible. Les efforts des humains pour instaurer la paix dans le monde ont Ă©chouĂ© et n’aboutiront jamais, et ce pour plusieurs raisons : « Ce n’est pas Ă  l’homme qui marche de diriger ses pas » ( JĂ©rĂ©mie 10:23 ). Les humains n’ont Ă©tĂ© créés ni avec la capacitĂ© ni avec le droit de se gouverner eux- mĂȘmes. Cequ’il y a de fou dans le monde, VoilĂ  ce que Dieu a choisi. Ce qu’il y a de faible dans le monde VoilĂ  ce que Dieu a choisi. Viens, Esprit de Feu, Aller vers. Sections de cette Readabout Ce qu'il y a de fou dans le monde from CommunautĂ© Du Chemin Neuf's Esprit Saint and see the artwork, lyrics and similar artists. Read about Ce qu'il y a de fou dans le 4bptlA1. Bruno Salomone Ă©tait l'invitĂ© de TĂ©lĂ©matin ce mardi 17 mai. L'occasion pour lui d'Ă©voquer un cĂ©lĂšbre humoriste et de donner de ses Salomone avait des choses Ă  raconter ce mardi 17 mai. InvitĂ© sur le plateau de TĂ©lĂ©matin, il a enchaĂźnĂ© les confidences notamment une sur un cĂ©lĂšbre humoriste, qui Ă©tait trĂšs inattendue. Dans les annĂ©es 1990, il a formĂ©, avec Eric Massot, Eric Collado, Manu Joucla et Jean Dujardin, la cĂ©lĂšbre troupe Nous C Nous. Un moment qu'il a jamais oubliĂ© et qui a Ă©tĂ© Ă©voquĂ© dans l'Ă©mission. "On se voit toujours tous, bien-sĂ»r", a-t-il d'abord affirmĂ© avant d'ajouter "On est potes Ă  vie. On est condamnĂ©s Ă  se connaĂźtre jusqu'au bout". Heureux de revoir ces images, il prĂ©cise ensuite "C'est une belle histoire, parce qu'on Ă©tait vraiment potes. Ce n'est pas un truc qui a Ă©tĂ© fabriquĂ©". De son cĂŽtĂ©, Julia Vignali lui rappelle qu'il est "pote avec un mec qui a eu un Oscar", en faisant rĂ©fĂ©rence Ă  Jean Dujardin. Ce Ă  quoi le principal concernĂ© rĂ©torque "Moi j'ai eu un Popeck". Une affirmation inattendue, qui surprend beaucoup Thomas Sotto. Face Ă  la surprise du journaliste, Bruno Salomone ajoute "Non je plaisante. Je fais des blagues aussi, il n'y a pas que vous" avant d'Ă©voquer Popeck. "Tout le monde pense qu'il est mort mais il ne l'est pas. Allez voir son nouveau spectacle. VoilĂ , je fais sa publicitĂ©", a-t-il conclu, toujours trĂšs avoir Ă©voquĂ© Popeck, c'est une autre personnalitĂ© trĂšs connue que Bruno Salomone a souhaitĂ© mentionnĂ©. En effet, il explique avoir un souvenir mĂ©morable avec Michael Jackson. "Je travaillais Ă  Disney Ă  l'Ă©poque parce qu'il fallait bien gagner sa vie", s'est-il d'abord amusĂ©. Alors qu'une photo est diffusĂ©e, sur laquelle on peut voir Dingo et le chanteur amĂ©ricain, Bruno Salomone explique que ce n'est pas lui sous le costume. "J'aurais bien aimĂ©", avoue-t-il avant d'apporter des prĂ©cisions sur les circonstances de cette rencontre. "J'Ă©tais le premier Dingo europĂ©en et je peux vous dire que j'en suis fier. En fait, on faisait une tournĂ©e promotionnelle un peu partout en Europe. Il Ă©tait en concert Ă  Berlin et il est venu car il Ă©tait fan de Disney", s'est-il souvenu. Alors qu'il se trouvait sous le costume de Dingo, Bruno Salomone s'est retrouvĂ© face Ă  Michael Jackson. "Il nous a demandĂ© de faire des photos. Je lui ai serrĂ© la main et il m'a parlĂ©, en tant que Dingo, en me disant "Goofy, I'm really glad to meet you" NDLR "Je suis ravi de te rencontrer". De son cĂŽtĂ©, Thomas Sotto affirme "C'est classe quand mĂȘme, non ?". Ce Ă  quoi le principal concernĂ© rĂ©pond "C'est classe sauf que je m'appelle Bruno mais il a senti que j'Ă©tais en dessous". voulant rassurer son invitĂ©, le journaliste ajoute "Il Ă©tait timide, il n'osait pas".Bruno Salomone pourquoi a-t-il rĂ©cemment poussĂ© un coup de gueule ?Bruno Salomone sera prochainement Ă  l'affiche du tĂ©lĂ©film Dans l'ombre des Dunes, diffusĂ© sur France 3 le 21 mai prochain. Il sera Ă©galement sur les planches Ă  Avignon, et Ă  partir du 30 septembre prochain au théùtre des VariĂ©tĂ©s dans la piĂšce Au scalpel. Des projets dont il est fier mais qu'il a eu beaucoup de mal Ă  concrĂ©tiser, comme il l 'a rĂ©vĂ©lĂ© il y a quelques jours dans le mĂ©dia TĂ©lĂ©pro. "J'ai Ă©crit plusieurs choses mais personne n'en veut. Tout le monde me dit que c'est trop fou. J'ai appris qu'il fallait faire quelque chose qui existe dĂ©jĂ  mais en moins cher pour avoir une chance d'ĂȘtre pris", a-t-il d'abord regrettĂ©. Par la suite, il a ajoutĂ© "Quand j'Ă©cris, je ne pense pas budget mais artistique. Dans le milieu, il y en a pas mal qui sont des businessmen. Je ne suis pas comme ça, je ne fais pas des choix pour le pognon", a-t-il conclu. VoilĂ  qui a le mĂ©rite d'ĂȘtre clair. Des Ă©vĂ©nements rĂ©cents sont venus nous remettre Ă  l’esprit le risque d’une guerre nuclĂ©aire, qui continue de peser sur le monde oĂč nous vivons. Certes je considĂšre improbable que l’un ou l’autre camp prenne dĂ©libĂ©rĂ©ment la dĂ©cision de plonger le monde dans les horreurs insoupçonnĂ©es et les dĂ©vastations qu’entraĂźnerait une guerre nuclĂ©aire totale. Mais aussi longtemps que notre sĂ©curitĂ© dĂ©pendra du maintien de l’ Ă©quilibre de la terreur » mieux vaut regarder en face le risque qu’une telle situation comporte. Le danger d’une rĂ©action en chaĂźne en cas de guerre nuclĂ©aire dĂ©truit d’ailleurs l’argument rĂ©confortant selon lequel l’abondance des armes nuclĂ©aires a aboli le risque d’une guerre totale. On a de bonnes raisons de croire que mĂȘme les prĂ©dictions les plus osĂ©es quant aux ravages que causerait une guerre nuclĂ©aire gĂ©nĂ©ralisĂ©e ou totale ne sont pas exagĂ©rĂ©es. Il n’y a personne pour soutenir que le monde serait encore ce qu’il est aujourd’hui aprĂšs une telle guerre. Toutefois, bien qu’il y ait naturellement de grandes diffĂ©rences entre les effets produits par les grosses bombes atomiques et ceux des armes nuclĂ©aires plus petites, ce serait Ă  mon avis une erreur de supposer que l’on pourrait employer ces derniĂšres sans courir au moins le grave risque de ne pouvoir limiter les hostilitĂ©s aux petites armes nuclĂ©aires. On se rĂ©fĂšre souvent Ă  la nĂ©cessitĂ© qu’il y aurait probablement pour l’ Ă  un premier stade, de s’en remettre Ă  l’emploi de ce qu’on appelle les armes nuclĂ©aires tactiques ; et dans de tels propos ces armes sont souvent assimilĂ©es Ă  une simple forme d’artillerie amĂ©liorĂ©e. Mais, eu Ă©gard Ă  la puissance de feu et Ă  la force de destruction des moindres engins nuclĂ©aires, je considĂšre que cette classification est absolument aberrante. La seule distinction valable qui puisse ĂȘtre faite est entre armes nuclĂ©aires et armes non nuclĂ©aires. L’existence de la sociĂ©tĂ© humaine en question Les effets produits par les armes nuclĂ©aires ont fait l’objet d’études acadĂ©miques rĂ©alisĂ©es par des experts en stratĂ©gie, particuliĂšrement aux Etats-Unis, oĂč les publications officielles ont fait paraĂźtre sur ce sujet de nombreuses informations. Dans son livre sur la guerre thermonuclĂ©aire On thermonuclear War, M. Herman Kahn pose la question Les survivants envieraient-ils le sort des morts ? » ; de son cĂŽtĂ© le professeur Oskar Morgenstern Ă©crit Peut-ĂȘtre que mĂȘme les auteurs de science-fiction ne peuvent imaginer vraiment ce que cela signifierait pour les survivants de voir cinquante, quatre-vingts ou cent millions de gens tuĂ©s en quelques jours, en quelques heures ou en quelques minutes, et des dizaines de millions d’autres gravement atteints et vivant sans espoir dans des taudis, dans l’atmosphĂšre empoisonnĂ©e des dĂ©bris radioactifs. » Enfin dans un livre rĂ©cent, On the prevention of war, M. John Strachey, aprĂšs avoir passĂ© en revue les faits tels qu’ils sont, conclut que mĂȘme une seule guerre nuclĂ©aire viendrait remettre en question l’existence de la sociĂ©tĂ© humaine organisĂ©e. Une sĂ©rie de guerres du mĂȘme genre y mettraient Ă  coup sĂ»r un point final ». Le terme d’arme nuclĂ©aire est couramment utilisĂ© pour dĂ©signer indiffĂ©remment toute arme tirant sa puissance explosive soit de la fission, soit de la fusion nuclĂ©aire. Mais le terme Ă  fission » s’applique spĂ©cifiquement Ă  une arme atomique » de l’ordre d’un kilotonne, tandis que Ă  fusion » correspond Ă  une arme Ă  hydrogĂšne » ou thermo-nuclĂ©aire » de l’ordre du mĂ©gatonne. La production », autrement dit la puissance, des moyens nuclĂ©aires se mesure en tonnes Ă©quivalant aux quantitĂ©s d’explosifs classiques TNT et s’exprime soit en kilotonnes Kt — 1 Kt vaut 1 000 tonnes de TNT — lorsqu’il s’agit d’armes atomiques ou Ă  fission », soit en mĂ©gatonnes Mt — 1 Mt vaut 1 000 000 de tonnes de TNT — s’il s’agit de bombes Ă  fusion » ou thermonuclĂ©aires. Une bombe Ă  fission du type Hiroshima 20 Kt Ă©quivaut donc Ă  une force explosive de 20 000 tonnes de TNT, et une bombe Ă  fusion de 10 Mt produit une Ă©nergie Ă©gale Ă  celle de 500 bombes Ă  fission de 20 Kt. A titre de comparaison, on se rappellera que les bombes trĂšs lourdes du type classique lancĂ©es d’avions au cours de la derniĂšre guerre Ă©taient de l’ordre d’une tonne. Les plus lourdes contenaient 6 tonnes de TNT et pouvaient dĂ©truire une rĂ©gion couvrant Ă  peu prĂšs 300 mĂštres carrĂ©s. Une bombe de 20 Kt peut, elle, dĂ©truire des constructions en brique de type courant sur une surface de 8 kilomĂštres carrĂ©s et peut causer des dĂ©gĂąts considĂ©rables, par suite des radiations, sur une surface double. Une bombe de 10 Mt cause la destruction d’une rĂ©gion couvrant environ 400 kilomĂštres carrĂ©s, et ses radiations peuvent ravager plus de 20 000 kilomĂštres carrĂ©s. Elle pourrait donc anĂ©antir complĂštement une zone construite qui possĂ©derait les dimensions de l’une des plus grandes capitales du monde. On a calculĂ© que, pour un pays comme la France, de 500 000 Ă  600 000 kilomĂštres carrĂ©s, peuplĂ© de 40 Ă  50 millions d’habitants, la destruction totale des moyens de vie serait rĂ©alisĂ©e avec 6 000 bombes Ă  fission, ou de 20 Ă  30 bombes Ă  fusion, pourvu qu’elles soient bien rĂ©parties sur toute la surface. D’autre part on a estimĂ© qu’une attaque prĂ©vue pour dĂ©truire les 150 principales villes amĂ©ricaines tuerait — sans qu’il soit tenu compte des abris contre les retombĂ©es ou des moyens d’évacuation — entre 160 et 180 millions de citoyens amĂ©ricains. Outre la force de l’explosion et la chaleur, qui ont les plus grands effets sur les constructions et les installations d’équipement, chaque explosion nuclĂ©aire s’accompagne de radiations thermiques et nuclĂ©aires qui, elles, produisent les plus grands effets sur la population. A Hiroshima et Ă  Nagasaki, les brĂ»lures causĂ©es par l’explosion provoquĂšrent de 20 Ă  30 % des dĂ©cĂšs. Pour une bombe de 20 kilotonnes, les individus non protĂ©gĂ©s pourraient ĂȘtre atteints de brĂ»lures fatales jusqu’à 1,5 kilomĂštre de distance, et jusqu’à 3 kilomĂštres les brĂ»lures seraient sĂ©rieuses. Ces mĂȘmes distances, dans le cas d’une bombe de 20 mĂ©gatonnes, se multiplient par 20. Il est plus difficile d’établir les effets de la radio-activitĂ© et des retombĂ©es. On peut trouver des retombĂ©es locales Ă  une distance comprise entre 150 et 500 kilomĂštres Ă  partir du point 0 au sol et sur une largeur supĂ©rieure Ă  60 kilomĂštres, ces chiffres variant selon la puissance de la bombe, la force du vent et les conditions atmosphĂ©riques. Les retombĂ©es globales ne se manifestent pas immĂ©diatement aprĂšs l’explosion mais leurs effets Ă  long terme sont considĂ©rĂ©s comme trĂšs dangereux. Les Etats-Unis, l’Union soviĂ©tique et le Royaume-Uni disposent actuellement d’engins Ă  fission et Ă  fusion dont la force explosive varie entre 20 kilotonnes et 20 mĂ©gatonnes et qui peuvent ĂȘtre transportĂ©s soit par des bombardiers stratĂ©giques, soit par fusĂ©es MRBM et ICBM, L’Union soviĂ©tique a d’autre part procĂ©dĂ© Ă  l’essai d’une arme de 50 mĂ©gatonnes. Enfin les Etats-Unis et l’ ont produit tous deux des armes nuclĂ©aires destinĂ©es Ă  un usage tactique et dont la puissance explosive varie entre 1 et 20 kilotonnes. Une guerre nuclĂ©aire limitĂ©e peu probable Tandis que la dĂ©couverte des armes nuclĂ©aires, il y a une vingtaine d’annĂ©es, a rendu disponible une Ă©norme puissance explosive, le dĂ©veloppement des fusĂ©es, survenu au cours des dix derniĂšres annĂ©es et qui permet de transporter en quelques minutes cette force explosive Ă  des distances intercontinentales, marque une rĂ©volution aussi importante que la dĂ©couverte de la fission nuclĂ©aire elle-mĂȘme. Le fait d’avoir des stocks d’engins nuclĂ©aires ne suffit plus aujourd’hui Ă  donner une vĂ©ritable capacitĂ© nuclĂ©aire Ă  un Etat. Le facteur essentiel est dĂ©sormais la possession des vĂ©hicules porteurs pour utiliser ces engins. La concentration des efforts sur la stratĂ©gie de dĂ©fense active, destinĂ©e Ă  dĂ©truire les moyens de rĂ©torsion de l’adversaire, ainsi que le renforcement des bases de fusĂ©es que l’on observe actuellement signifient tous deux que l’on met l’accent sur les armes de prĂ©cision et de grande puissance. A l’intĂ©rieur de l’alliance atlantique, prise dans son ensemble, le problĂšme du transport des bombes et engins nuclĂ©aires ne se pose pas. Il y a deux ans un expert amĂ©ricain avait dĂ©clarĂ© d’autre part que les Etats-Unis possĂ©daient environ 1 000 bombes Ă  hydrogĂšne, chacune capable d’anĂ©antir une citĂ©, et qu’ils disposaient d’une quantitĂ© suffisante de matĂ©riel de rĂ©action en chaĂźne pour en fabriquer un demi-million. Contre les troupes en opĂ©rations sur le terrain, les effets des armes nuclĂ©aires tactiques sont tels qu’il faudrait s’attendre que le taux des victimes soit trĂšs Ă©levĂ©. Dans le cas d’une bombe atomique de 2 Kt, tous les hommes Ă  dĂ©couvert seraient atteints immĂ©diatement sur un rayon de 550 mĂštres Ă  partir du foyer de l’explosion au sol et sur un rayon de 900 mĂštres tous les hommes seraient atteints en l’espace de quatre heures. S’ils sont Ă  l’abri dans des tranchĂ©es, ces distances se rĂ©duisent Ă  des rayons de 400 Ă  650 mĂštres respectivement. Et puisque l’on a prĂȘtĂ© une grande attention Ă  l’emploi sur les champs de bataille de fusĂ©es sol Ă  sol de courte portĂ©e, les projets d’interdiction de l’emploi d’armes nuclĂ©aires par les forces aĂ©riennes tactiques pourraient bien constituer le danger le plus sĂ©rieux de rĂ©action en chaĂźne en cas de guerre nuclĂ©aire. Au cours de la manƓuvre de l’ Carte blanche » en 1955, 3 000 avions furent mis en action et lancĂšrent » 335 bombes. On en dĂ©duisit que les victimes devaient ĂȘtre estimĂ©es Ă  1 700 000 morts et 3,5 millions de blessĂ©s, sans tenir compte des effets de la radio-activitĂ© produite par les bombes. De ces chiffres les auteurs soviĂ©tiques ont conclu Ă  l’évidence des dangers que prĂ©senterait une guerre nuclĂ©aire, ce qui a pu avoir une certaine influence sur l’opinion russe. Mais ces chiffres semblent aussi contredire que la thĂ©orie d’une guerre nuclĂ©aire limitĂ©e est une doctrine rĂ©aliste. Tout examen des effets produits par les armes nuclĂ©aires met en Ă©vidence la conclusion que la guerre nuclĂ©aire, Ă  quelque Ă©chelle que ce soit, est d’un type et d’une amplitude diffĂ©rant entiĂšrement de ceux des hostilitĂ©s caractĂ©risĂ©es par l’emploi d’armes tactiques, et que le passage d’un stade Ă  l’autre est d’une importance cruciale. Cela me semble aussi rĂ©vĂ©ler que si les armes nuclĂ©aires sont de nature Ă  dĂ©courager l’agresseur, elles ne peuvent ĂȘtre utilisĂ©es pour la dĂ©fense du territoire. Toute la conception de la dĂ©fense occidentale doit ĂȘtre fondĂ©e sur le principe qu’il faut empĂȘcher la guerre et sur la nĂ©cessitĂ© d’éviter le dĂ©clenchement d’une rĂ©action en chaĂźne si jamais des hostilitĂ©s limitĂ©es devaient Ă©clater et entraĂźner l’utilisation d’armes nuclĂ©aires. Dans ces conditions le dĂ©sarmement gĂ©nĂ©ral, soumis Ă  l’inspection et au contrĂŽle, n’a pas besoin d’autre justification. Hugo ClĂ©ment Ă©tait l'invitĂ© du RTL INFO Avec Vous ce mercredi. Le journaliste est venu parler de son livre, "Journal de guerre Ă©cologique". Olivier Schoonejans Dans votre livre "Journal de guerre Ă©cologique", il y a beaucoup de termes assez forts comme "combat", "rĂ©sistance", "nouvelle Guerre Mondiale"... C'est voulu, j'imagine. Hugo ClĂ©ment "Oui, c'est voulu et ça correspond malheureusement Ă  la situation dans laquelle on se trouve. C'est ce que disent les scientifiques. On est dans une urgence climatique, dans un effondrement gĂ©nĂ©ralisĂ© de la biodiversitĂ©, qui a des consĂ©quences dramatiques sur les autres espĂšces, mais sur la notre Ă©galement. Je parle de guerre parce qu'il y a des victimes. Il y a non seulement les gens qui meurent en dĂ©fendant la nature, qui sont tuĂ©s. Mais aussi les millions de personnes qui subissent les consĂ©quences de ce dĂ©rĂšglement climatique et de l'effondrement de la biodiversitĂ©. Donc il y a malheureusement beaucoup de points communs avec une guerre et l'enjeu auquel on fait face, c'est simplement de savoir si on va pouvoir continuer en tant qu'espĂšce humaine Ă  habiter cette planĂšte de maniĂšre acceptable." Dans votre livre, vous faites le tour du monde des situations dramatiques pour l'environnement. Il y a beaucoup d'ennemis. Comment pointer un problĂšme Ă  rĂ©soudre en prioritĂ© ? "C'est compliquĂ© parce que ce n'est pas blanc et noir, ce ne sont pas les gentils et les mĂ©chants. C'est aussi une guerre qu'on mĂšne contre nous-mĂȘmes, contre notre mode de vie, contre notre mode de consommation. Il faut qu'on change collectivement, qu'on sorte de nos habitudes, qu'on consomme globalement moins, moins de viande, qu'on brĂ»le moins de pĂ©trole, moins de charbon. Ce n'est pas facile, effectivement. Et j'en parle dans le livre, les gens qui dĂ©truisent l'environnement, les groupes qui se rendent coupables de certaines exactions, ce ne sont pas forcĂ©ment des grands mĂ©chants qu'on voit dans les films. C'est pour ça que dans ce livre, je vais aussi leur parler. Je vais voir les cartels mexicains qui sont responsables du braconnage, les grandes entreprises qui exploitent le charbon en Australie, je vais voir les gens qui exploitent les forĂȘts en France. Il faut parler Ă  tout le monde, il faut essayer de comprendre d'oĂč vient le problĂšme et essayer de convaincre d'avancer dans le bon sens." Mais chacun rejette un peu la faute sur l'autre... "On a tendance Ă  regarder chez notre voisin ce que lui ne fait pas assez bien ou pas assez vite. Je pense qu'il faut ĂȘtre dans la bienveillance, encourager toutes les bonnes actions et surtout voir, nous Ă  notre niveau, ce qu'on peut faire et ce qu'on peut demander aussi Ă  nos dirigeants. Parce que tout le monde n'a pas la mĂȘme responsabilitĂ©. On n'a pas la mĂȘme responsabilitĂ© quand on prend sa voiture pour aller travailler que quand on est prĂ©sident d'une grande puissance mondiale ou d'une grande entreprise." Ce sont de petites actions mais mises bout Ă  bout par des millions de personnes, ça a un gros impact Vous donnez des conseils en fin de livre. Ils ne sont finalement pas si compliquĂ©s Ă  mettre en place dans la vie de tous les jours et peuvent, selon vous, changer les choses ? "Je donne des pistes d'action. Ce n'est pas exhaustif, ce n'est pas ce qu'il faut absolument faire. On peut agir Ă  travers notre alimentation, Ă  travers ce qu'on met dans notre assiette, ce qu'on achĂšte ou pas. Les scientifiques le disent, il faut manger moins de viande, moins de poisson, consommer des fruits et lĂ©gumes qui ont Ă©tĂ© cultivĂ©s localement, idĂ©alement sans produits phytosanitaires, dans la mesure du possible. Ça peut ĂȘtre au travers de la maniĂšre dont on s'habille, peut-ĂȘtre acheter moins d'habits. On a tous dans nos placards des habits qu'on a mis une fois ou deux puis qui restent lĂ  et ne servent pas Ă  grand-chose. On peut donc peut-ĂȘtre en acheter moins et accepter de mettre un prix un tout petit peu supĂ©rieur pour acheter des vĂȘtements fabriquĂ©s par des entreprises belges ou europĂ©ennes. Ça peut ĂȘtre aussi Ă  travers nos dĂ©chets, essayer d'Ă©viter d'acheter des produits suremballĂ©s, de recycler au maximum le plastique. Ce sont de petites actions mais mises bout Ă  bout par des millions de personnes, ça a un gros impact." Changer nos habitudes, c'est parfois le plus difficile. Vous y croyez, malgrĂ© tout ? "MalgrĂ© tout, je crois en l'espĂšce humaine. L'Ă©cologie, que je dĂ©fends et mets en lumiĂšre dans ce livre, ce n'est pas de l'anti-humanisne. Ce n'est pas de dire qu'on est le cancer de la planĂšte. La vie est toujours la plus forte et me concernant, j'ai envie que mes enfants puissent avoir la possibilitĂ© d'ĂȘtre heureux, de vivre sur une planĂšte oĂč le bonheur est possible. Et je commence le livre en parlant de ma fille qui est nĂ©e le 3 janvier 2020 parce que je me suis dit elle aura 80 ans le 3 janvier 2100. Nous, ça nous parait trĂšs loin parce qu'on ne sera plus sur cette Terre donc on a du mal Ă  se projeter. Mais elle, Ă  la fin de sa vie, elle connaitre ce monde-lĂ  et ce que nous prĂ©disent les scientifiques pour l'annĂ©e 2100 si on continue sur notre trajectoire, ce n'est pas un monde qui fait rĂȘver. C'est un monde oĂč un tiers de l'humanitĂ© vit dans des zones aussi chaudes que le Sahara aujourd'hui. C'est un monde oĂč il y a plus de plastique que de poissons dans l'ocĂ©an. C'est un monde oĂč il n'y a plus de glacier et de montage, oĂč il y a des milliers d'espĂšces qui auront disparu. Je n'ai pas envie de ce monde-lĂ  pour ma fille." Covid-19 en Belgique voici oĂč en est la situation ce mercredi 16 dĂ©cembre Lecture de la premiĂšre lettre de saint Paul apĂŽtre aux Corinthiens FrĂšres, vous qui avez Ă©tĂ© appelĂ©s par Dieu, regardez bien parmi vous, il n’y a pas beaucoup de sages aux yeux des hommes, ni de gens puissants ou de haute naissance. Au contraire, ce qu’il y a de fou dans le monde, voilĂ  ce que Dieu a choisi, pour couvrir de confusion les sages ; ce qu’il y a de faible dans le monde, voilĂ  ce que Dieu a choisi, pour couvrir de confusion ce qui est fort ; ce qui est d’origine modeste, mĂ©prisĂ© dans le monde, ce qui n’est pas, voilĂ  ce que Dieu a choisi, pour rĂ©duire Ă  rien ce qui est ; ainsi aucun ĂȘtre de chair ne pourra s’enorgueillir devant Dieu. C’est grĂące Ă  Dieu, en effet, que vous ĂȘtes dans le Christ JĂ©sus, lui qui est devenu pour nous sagesse venant de Dieu, justice, sanctification, rĂ©demption. Ainsi, comme il est Ă©crit Celui qui veut ĂȘtre fier, qu’il mette sa fiertĂ© dans le Seigneur. – Parole du Seigneur. Source Continue Reading Discordes et dĂ©sordres dans l’Église Salutation et louange 1 Paul, appelĂ© Ă  ĂȘtre apĂŽtre du Christ JĂ©sus par la volontĂ© de Dieu, et SosthĂšne, le frĂšre, 2 Ă  l’Église de Dieu Ă©tablie Ă  Corinthe, Ă  ceux qui ont Ă©tĂ© sanctifiĂ©s dans le Christ JĂ©sus, appelĂ©s Ă  ĂȘtre saints avec tous ceux qui en tout lieu invoquent le nom de JĂ©sus Christ notre Seigneur, le leur et le nĂŽtre ; 3 Ă  vous grĂące et paix de par Dieu, notre PĂšre, et le Seigneur JĂ©sus Christ ! 4 Je rends grĂące Ă  Dieu sans cesse Ă  votre sujet pour la grĂące de Dieu qui vous a Ă©tĂ© accordĂ©e dans le Christ JĂ©sus ; 5 car vous avez Ă©tĂ© comblĂ©s en lui de toutes les richesses, toutes celles de la parole et toutes celles de la science, 6 Ă  raison mĂȘme de la fermetĂ© qu’a prise en vous le tĂ©moignage du Christ. 7 Aussi ne manquez-vous d’aucun don de la grĂące, dans l’attente oĂč vous ĂȘtes de la RĂ©vĂ©lation de notre Seigneur JĂ©sus Christ. 8 C’est lui qui vous affermira jusqu’au bout, pour que vous soyez irrĂ©prochables au Jour de notre Seigneur JĂ©sus Christ. 9 Il est fidĂšle, le Dieu par qui vous avez Ă©tĂ© appelĂ©s Ă  la communion de son Fils, JĂ©sus Christ notre humaines et sagesse divine 10 Je vous en prie, frĂšres, par le nom de notre Seigneur JĂ©sus Christ, ayez tous mĂȘme langage ; qu’il n’y ait point parmi vous de divisions ; soyez Ă©troitement unis dans le mĂȘme esprit et dans la mĂȘme pensĂ©e. 11 En effet, mes frĂšres, il m’a Ă©tĂ© signalĂ© Ă  votre sujet par les gens de ChloĂ© qu’il y a parmi vous des discordes. 12 J’entends par lĂ  que chacun de vous dit "Moi, je suis Ă  Paul" - "Et moi, Ă  Apollos" - "Et moi, Ă  CĂ©phas" - "Et moi, au Christ." 13 Le Christ est-il divisĂ© ? Serait-ce Paul qui a Ă©tĂ© crucifiĂ© pour vous ? Ou bien serait-ce au nom de Paul que vous avez Ă©tĂ© baptisĂ©s ? 14 Je rends grĂące de n’avoir baptisĂ© aucun de vous, si ce n’est Crispus et CaĂŻus, 15 de sorte que nul ne peut dire que vous avez Ă©tĂ© baptisĂ©s en mon nom. 16 Ah si ! j’ai baptisĂ© encore la famille de StĂ©phanas. Pour le reste, je ne sache pas avoir baptisĂ© quelqu’un d’autre. 17 Car le Christ ne m’a pas envoyĂ© baptiser, mais annoncer l’Évangile, et cela sans la sagesse du langage, pour que ne soit pas rĂ©duite Ă  nĂ©ant la croix du Christ. 18 Le langage de la croix, en effet, est folie pour ceux qui se perdent, mais pour ceux qui se sauvent, pour nous, il est puissance de Dieu. 19 Car il est Ă©crit Je dĂ©truirai la sagesse des sages, et l’intelligence des intelligents je la rejetterai. 20 OĂč est-il, le sage ? OĂč est-il, l’homme cultivĂ© ? OĂč est-il, le raisonneur de ce siĂšcle ? Dieu n’a- t-il pas frappĂ© de folie la sagesse du monde ? 21 Puisqu’en effet le monde, par le moyen de la sagesse, n’a pas reconnu Dieu dans la sagesse de Dieu, c’est par la folie du message qu’il a plu Ă  Dieu de sauver les croyants. 22 Alors que les Juifs demandent des signes et que les Grecs sont en quĂȘte de sagesse, 23 nous proclamons, nous, un Christ crucifiĂ©, scandale pour les Juifs et folie pour les paĂŻens, 24 mais pour ceux qui sont appelĂ©s, Juifs et Grecs, c’est le Christ, puissance de Dieu et sagesse de Dieu. 25 Car ce qui est folie de Dieu est plus sage que les hommes, et ce qui est faiblesse de Dieu est plus fort que les hommes. 26 Aussi bien, frĂšres, considĂ©rez votre appel il n’y a pas beaucoup de sages selon la chair, pas beaucoup de puissants, pas beaucoup de gens bien nĂ©s. 27 Mais ce qu’il y a de fou dans le monde, voilĂ  ce que Dieu a choisi pour confondre les sages ; ce qu’il y a de faible dans le monde, voilĂ  ce que Dieu a choisi pour confondre ce qui est fort ; 28 ce qui dans le monde est sans naissance et ce que l’on mĂ©prise, voilĂ  ce que Dieu a choisi ; ce qui n’est pas, pour rĂ©duire Ă  rien ce qui est, 29 afin qu’aucune chair n’aille se glorifier devant Dieu. 30 Car c’est par Lui que vous ĂȘtes dans le Christ JĂ©sus qui est devenu pour nous sagesse venant de Dieu, justice, sanctification et rĂ©demption, 31 afin que, comme il est Ă©crit, celui qui se glorifie, qu’il se glorifie dans le Seigneur.

ce qu il ya de fou dans le monde